Archives annuelles: 2016

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Les points d’un mûmakil | Labération

RETOUR SUR LES RÈGLES :
Le mûmakil ne compte-t-il vraiment que pour un ?
« Ça ne compte quand même que pour un ! »

Notre équipe spéciale de Laberation vous propose d’étudier de plus près les règles de ce sport particulier qu’est le dénombrement de démembrement.

Célèbre débat entre les elfes prétentieux et la noble race des nains, le nombre de points rapportés par l’abattage d’un mûmakil est toujours sujet à litige entre ces deux peuples. Aujourd’hui, nous vous apportons une réponse parfaitement objective !

Replaçons tout d’abord le contexte. Au cours de la célèbre bataille des Champs du Pelennor, l’un des majeurs tournants est l’arrivée par bateau de toute une armée de morts-vivants du côté des gentils (alors que le grand méchant est appelé le « Nécromancien »…) et de trois héros bien vivants, AragornGimli et Legolas.

S’ensuit alors un acte aussi brave qu’inutile de l’elfe qui s’empresse de sauter sur le dos de l’un des grands mammifères et d’enchaîner les points, jusqu’à enfin achever la pauvre bête. Lui qui clamait haut et fort son nombre de démembrements est alors ramené à la réalité par le nain, véritable garant du respect des règles sportives, qui lui rappelle que selon les règles officielles, ça ne compte quand même que pour un ! L’elfe, dans un geste de tête dédaigneux et parfaitement méprisant, lui indique qu’il ne comptait pas jouer à la loyale de toute façon. Et nous pouvons aujourd’hui affirmer que non seulement le mûmakil ne rapporte en effet qu’un seul point, ce mammifère ayant pour seule particularité d’être énorme et donc incroyablement simple à viser, mais que Legolas a triché ! (Notre équipe nous apprend que la seule créature valant plus d’un point est d’ailleurs le nazgûl dont la prime s’élève à 10 points, 12 pour le chef. Félicitations à Merry et Eowyn qui empochent chacun 6 points!) Les archers postés sur le dos de la bête n’avaient pas besoin d’être tués directement, puisqu’il suffisait de jeter leur support par-dessus bord, ce que l’elfe fera d’ailleurs sans difficulté plus tard. L’ensemble aurait donc dû compter pour un seul point, le fait de les énumérer un par un étant un considéré comme un geste antisportif par le très noble Cercle de la Bière et du Mithril, société d’arbitrage dont l’impartialité est légendaire.

On notera d’ailleurs que ce n’est pas la première fois que Legolas a recours à la fraude pour tenter de dépasser son camarade simplement plus doué que lui. À la fin de la Bataille du Gouffre de Helm, on se souvient tous de cette scène où l’elfe comptabilise un point sous prétexte que « l’orque bougeait encore » alors que la hache de notre héros barbu était simplement enfoncée dans son système nerveux. Quel piètre esprit sportif que celui des elfes ! À la suite de cette histoire, Legolas se verra punir d’une interdiction de champs de batailles entièrement méritée de deux ans.

Cette injustice étant désormais réglé, nous pouvons considérer le sujet comme clos et remercions l’équipe d’arbitrage vidéo de Peter Jackson pour ces images troublantes.

Alban

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Les Arts | La Chronique Picturale !

Aujourd’hui, 5 dessins des Muses de la peinture, la musique, le cinema, la littérature et la danse. Ils sont presque uniquement réalisés au café et à l’encre de chine (“presque” parce que je l’avoue j’ai triché et rajouté du cacao et du thé sur certains…)

Leila

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Voldemort maîtrise-t-il vraiment l’Avada Kedavra ? | Laberation

Un enfant charmant, n’est ce pas ?
NOUS SOMMES EN DROIT D’EN DOUTER.

En effet, chaque fois que quelqu’un a vu le célèbre mage noir lancer le sort, celui-ci l’a raté. Tout d’abord contre un bébé, puis face à un adolescent boutonneux sans talent particuliers, Tom Elvis Jedusor n’est jamais parvenu à tuer à l’aide de l’Avada Kedavra. «Mais il a tout de même commis de nombreux meurtres !» me direz-vous, lecteurs naïfs mais attentifs. «Et toujours accompagnés d’une lumière verte caractéristique.» Cela est bien vrai mais ne prouve rien. Rien ? Rien. En effet, nos troupes d’élite de Laberation se sont rendues sur place et leur enquête a abouti à une conclusion aussi terrible qu’évidente.

Lord Voldemort est incapable de lancer un Sortilège de Mort correct, au point de se faire contrer par un ridicule Sortilège de Désarmement, appris en 2nde année à Poudlard. Alors qu’un sorcier réellement qualifié, le professeur Rogue, est capable de tuer Albus Dumbledore, un adversaire autrement plus résistant qu’un simple bambin.Pour répondre au questionnement émis plus tôt, voilà la choquante vérité. L’ami Voldy est bel un bien un criminel (quoique nous verrons par la suite que ses actes sont loin d’être aussi odieux qu’on ne nous laisse le croire) mais, sorcier médiocre, il se réduit à utiliser une bonne vieille AK-47 à viseur laser (teinté en vert, c’est là qu’est toute la subtilité) pour commettre ses meurtres. Et il faut lui avouer que ça semble donner de bien meilleurs résultats.

Alors pourquoi persister dans l’erreur ? Pourquoi continuer à utiliser sa baguette (ou celle de Dumbledore) pour attaquer Harry Potter ?

Il y a deux explications à cela.

TOUT D’ABORD, IL SE PRÉSENTE COMME LE PLUS GRAND MAGE NOIR QUE L’HUMANITÉ AIT JAMAIS CONNU.

Or, ne pas savoir lancer l’Avada Kedavra, même quand on est quasiment immortel, c’est pas crédible. Donc en public, point de fusil et le malheureux tente de faire bonne figure en agitant frénétiquement sa baguette.

Une nouvelle fois, amicaux mais tatillons lecteurs, vous me sortirez le nom de Cedric Diggory ou de la professeur d’étude des moldus que Voldemort semble abattre avec aisance. Mais est-on sûrs de leur état cadavérique ? Pas du tout. Le brave Seigneur s’est contenté de les assommer, laissant tout un chacun croire à leur mort, puis les a achevés à la kalashnikov lorsqu’il était à l’abri des regards. Faiblard mais pas con, le Voldy.

Pourquoi ne pas juste sortir le fusil face à Harry Potter, son pire ennemi, et prétendre à la feinte dans ce cas ? Après tout, que sont quelques ragots face à la mort de son rival ? C’est là qu’intervient le second argument. De part les PeverellHarry est son cousin éloigné, du côté de sa mère. Or, on sait que Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom respecte et vénère son lien familial avec Serpentard, donc les Peverell et donc Harry. Pour preuve : il ne tue pas Morfin (son oncle) et se contente de modifier sa mémoire, il place plusieurs bouts de son âme dans des objets représentant Serpentard(le médaillon, la bague et Nagini). La vérité est que Voldemort n’a jamais voulu tuer Harry. D’ailleurs, au cours de la quatrième année d’études du jeune Potter, ne lui propose-t-il pas de rejoindre les Forces du Mal plutôt que de se battre ? S’il avait simplement voulu le tuer, suivant ainsi les directives de la prophétie, il ne lui aurait jamais posé cette question.

L’ATTAQUE DE JAMES ET LILY POTTER DEVIENT SOUDAIN PARFAITEMENT CLAIRE.

Sauf que le malheureux sorcier, n’étant pas très doué et épuisé (on dirait pas, mais tuer, c’est éreintant ! ), rate à nouveau son sort et se suicide par accident.Refusant de voir son lointain cousin élevé par un parfait garnement et une enfant de moldus, le Seigneur Noir a décidé de prendre lui-même en main l’éducation de Harry. Deux coups de fusil plus tard, il se retrouve devant le bambin, il pose l’arme et sort sa baguette, sans doute pour aider l’enfant à dormir d’un sommeil profond et heureux, le temps du transplanage (on sait que cette pratique est particulièrement désagréable).

Il est d’ailleurs si attaché à son cousin qu’il tente fréquemment d’entrer en contact avec lui par le biais de visions, celles-ci étant rendues possibles grâce à la cicatrice qu’il lui a laissé afin de pouvoir constamment communiquer avec lui. Une belle preuve d’amour.

Ce bon vieux Voldy et son sourire légendaire !

Que de choquantes révélations sur feu Voldemort mais qui éclairent d’une nouvelle lumière la vérité se cachant derrière cet énigmatique personnage. Qui, désormais, pourra lui reprocher sa tendance à user de la gâchette quand on sait que son seul objectif est d’élever un membre de sa famille dans un environnement sain ?! (Surtout qu’il avait bien raison, l’échec de sa mission résultant en une amitié durable entre Harry et Ron Weasley, le pire sorcier que Poudlard ait jamais vu passer entre ses murs.)

Sur ces belles paroles, je vous laisse relire l’intégrale des aventures du jeune sorcier avec un regard nouveau, rempli d’empathie à l’égard du Seigneur incompris. 

Alban

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Chapitre 10 : Une concertation prometteuse. | Élucubrations extravagantes

Quelques heures après que la fameuse voix virile ait rattrapé le convoi et se soit présentée comme Sigurd, demi-elfe voleur incarné par leur ami Guillaume, les chronoscopeurs s’accordèrent une courte pause avant d’entrer en ville. Ou plutôt dans le bourg, vu la taille. Voire même le village… Mais pas tout à fait un hameau non plus. Étant donné que les conventions géographiques de l’époque ont été brûlées, déchirées, avalées, régurgitées puis jetées dans un volcan par le cartomancien qui s’est penché sur la question, on ne peut pas être tout à fait sûrs. En tout cas, ce lieu avait pour nom Syntiriet et c’était de là que les valeureux héros étaient partis le matin-même.

« Les gars, il nous faut un plan ! Exposa Thyoran.

  • La ville m’a pas l’air si grande, on va pas se perdre, argumenta Hel’ Ygort.
  • Je dirais que c’est plutôt un bourg, nota Sigurd.
  • Ça ressemble vachement à un village en fait, réfléchit Junglor Vilmar.
  • N’allons pas jusqu’à appeler ça un hameau, intervint Naylhöw.
  • Les hameaux c’est ceux qui ont deux bosses ! S’exclama Powerpupuce, visiblement très heureuse de s’être souvenu de ce savoir. Et puis moi je suis une fille, pas un gars ! »

Un long silence de deuil accueillit sa déclaration. Même Tom ne parvint pas à trouver les mots pour la défendre.

« Mais je parle d’un plan d’attaque, d’une stratégie ! Insista Thyoran, sans en démordre. »

Un nouveau silence se fit dans l’assemblée. Tout le monde le regardait d’un air dubitatif. Il soupira puis reprit son explication.

« Bon, en gros on a besoin d’informations.

  • C’est moins que deux formations, du coup, observa Kazutho.
  • Donc on doit trouver quelqu’un de louche et lui faire cracher la localisation de ce Rotrehr ou alors le nom de quelqu’un qui pourra nous l’indiquer. »

Il observa ses camarades d’un air de défi, comme s’il attendait de voir qui serait le prochain à faire un jeu de mot vaseux pour lui enfoncer sa hache dans le dos. Personne ne s’y risqua et les sept autres cherchèrent plutôt un moyen constructif d’avancer dans leur quête.

« On pourrait l’affamer et lui agiter de la nourriture sous le nez ! Proposa Anthony.

  • On le cloue à un mur en lui plantant des flèches dans les coudes, on lui coupe la peau du nez et on fait un concours de tir sur ses liaisons nerveuses ! Se délecta Glumy.
  • On pourrait envisager un protocole tout à fait ingénieux visant à… commença Patsy.
  • On lui fait écouter de la musique de merde ! Genre du rap ! Se réjouit Saurus. Ils craquent tous.
  • On lui fait lire notre ordre de mission ! Soumit Tom. Ses yeux vont imploser devant les fautes d’orthographe et il nous dira tout.
  • On pourrait lui soutirer ses bourses et ne les lui rendre que contre les renseignements, suggéra Sigurd.
  • Moi j’ai pas compris ! Affirma Powerpupuce, très fière.
  • … Et puis on le tabasse, termina Naylhöw qui ne s’était pas rendue compte que sa nature elfique avait poussé les autres à ne pas l’écouter.
  • .. Je crois qu’on va y aller et puis improviser, conclut Jeremy. »

C’est ainsi qu’est née la meilleure stratégie des Chronoscopeurs, encore fréquemment utilisée à nos jours.

Alban

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Chapitre 9 : Les chronoscopeurs | Élucubrations extravagantes

« … J’en crois pas mes yeux ! Hallucina Jeremy.

  • Moi non plus, cet enfoiré à déjà récupéré la donzelle ! S’insurgea Kazutho.
  • Il aura vite oublié qu’il était en couple… Soupira Glumy. Mais…. Eh, y’en a une autre !
  • Les gars, par pitié… Vous allez pas vous abaisser à draguer une archère elfe quand même ! Désespéra le nain.
  • On prend ce qu’on nous donne, tant pis pour le rôleplay. » répondirent de consort ses deux camarades.

Ils s’avancèrent alors vers l’elfette en se bousculant, chacun voulant être devant l’autre. Le drow finit par avoir raison du la ténacité du hobbit qui se vengea en invoquant un sandwich au thon pour en frapper son concurrent.

Ignorant la feuille de salade coincée dans ses cheveux, Hel’ Ygort entama la discussion.

« Bien le bonjour, mademoiselle… Naylhöw, qu’est-ce qui vous amène dans ces sublimes contrées où chacun enchante mon nom de louanges ?

  • Oh l’autre ! À la limite y’a bien la mamie qui t’a insulté parce que t’as fait peur à son cabot, mais sinon…
  • Ferma-la la demie-portion ! Ne l’écoutez pas, ma mie, il di…
  • Anthony, c’est toi ?! S’exclama l’elfette, ignorant son interlocuteur. Dis donc, même pour la taille, t’as pas changé !
  • …vague.
  • Je te permets pas dis-donc ! Quand on fait partie d’une race aux goûts culinaires aussi désastreux, on se la ferme ! Bon, on laissa la malpolie ici et on s’en va !
  • Tu ne me reconnais pas ?!
  • Blablabla, cause toujours… »

À ce moment là ils entendirent un bruit d’étranglement suivi d’une lourde chute. Junglor Vilmar et sa conquête étant trop occupés, seuls le hobbit, l’elfe et le drow se retournèrent pour constater que le nain était à terre, inconscient.

« Oh mon dieu mais c’est Jeremy ! S’exclama la nouvelle.

  • Bah qui veux-tu que ce soit ? La harangua le plus petit du groupe. Un Nazgul en tongue ?
  • Mais toi… t’es qui ? Interrogea l’assassin.
  • Mais c’est moi, Patsy ! J’ai pourtant bien coché l’option pour garder mon apparence habituelle…
  • … !
  • … ?
  • … ?!
  • Ah ouais, maintenant que tu le dis.
  • C’est pas faux.
  • Ça explique pour Jérémy, raisonna Hel’ Ygort. Il a dû subir un choc en voyant une de ses amies dans un avatar elfique…
  • Ah oui, le pauvre… Il est pas prêt de s’en remettre. »

Une fois les retrouvailles faites, le nain remis sur ses courtes jambes -desquelles il se servit pour s’éloigner le plus rapidement possible de celle qui fut son amie, avant de faire un terrible choix dans la sélection de sa race- et les malentendus dissipés, la compagnie se remit alors en route en sens inverse, non sans quelques mouvements d’humeur à l’encontre de ces déplacements inutiles, vers la ville.

Tom présenta en chemin Powerpupuce, la nymphe derrière laquelle se cachait en réalité Coraline. Après dix minutes de voyage, un gnome entièrement vêtu de noir et lassé de son camouflage le rendant invisible aux yeux de ses camarades sauta devant eux pour attirer leur attention. Il s’agissait de Saurus le gnome ninja dans lequel s’était réincarné Rémi. Tout le monde l’accueillit avec joie et, dans l’euphorie générale, Thyoran lui promit même de lui fabriquer une guitare miniature en accord avec ses nouvelles dimensions, et ce pour seulement 85% du prix du marché !

Ayant déjà oublié leur situation précaire dans un monde inconnu et dangereux, ils plaisantaient, s’amusaient, se moquaient de l’elfe et appréciaient simplement le fait de passer du temps ensemble. Ils n’avaient pas besoin de plus que ça pour se sentir à leur place et être heureux. Voilà ce qu’étaient les Chronoscopeurs.

« Et… Et moi alors ?! » Se plaignit une voix virile, restée seule à l’orée du bois.

Alban

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Chapitre 8 : Les nouveaux arrivants | Élucubrations extravagantes

« Mais en fait, on marche vers une forêt elfique là ? Demanda Kazutho.

  • Si on en croit le message… commença Hel’ Ygort.
  • L’odieuse affabulation dont la grotesquerie n’a d’égale que la CONNERIE de son auteur, tu veux dire.
  • Oui voilà, il nous donne rendez-vous à la forêt « dé zelf ».
  • Quoiiiii ?! Jamais je foutrai les pieds chez les bouffeurs de salade moi ! S’offusqua Thyoran.
  • Il fallait y penser avant, on est presque arrivés maintenant.
  • Ça ne vous choque pas ?! Là, on va chez les elfes les gars ! Articula le nain comme s’il parlait à des enfants en bas-âge.
  • ..
  • ..
  • Au pire on les tabasse ? Insinua le drow. »

Il fallut de nombreuses minutes de négociations et toute la capacité de persuasion de ses camarades pour convaincre le barbu de reprendre la route. Ils marchaient depuis maintenant cinq heures et ils voyaient enfin devant eux la splendide forêt. En regardant bien, ils purent constater que les petits buissons, sur le bord du sentier, étaient en fait des framboisiers remplis de leurs fruits appétissants. Des oiseaux multicolores gazouillaient sur les premières branches, accueillant les nouveaux-venus de leurs chants joyeux. L’un des volatiles poussa le vice jusqu’à venir battre des ailes devant le nain, comme s’il souhaitait se poser sur son épaule.

Ils entendirent alors des pas, plus nombreux que ce à quoi ils s’attendaient, s’approcher d’eux depuis les arbres. L’homme à la cape noir sortit de l’ombre et croisa les bras devant lui dans une posture qu’il voulait impressionnante. Son effet fut un peu gâché par la grimace de dégoût qu’il ne put réfréner lorsqu’il constata la présence d’une tête de moineau ensanglantée juste devant ses pieds.

« Vous… Vil personnage à la coiffure indéterminée… Comment osez-vous détruire ainsi la langue de nos ancêtres ?! Immonde cancrelat !

  • Faites pas attention, il a craqué, précisa le hobbit. Envoyez la mission, filez-nous le pognon et tirez-vous. En plus il est presque 16h alors si vous pouviez vous dépêcher…
  • Hmm je vois, reprit l’inconnu en tentant tant bien que mal de conserver de la prestance. Votre objectif, messieurs, est de retrouver la Perle du chaos, une pierre de vision prophétique très puissante qu’a volé le terrible sorcier Rotrehr. C’est d’ailleurs cet artéfact qui a annoncé votre venue, vous, les huit chronoscopeurs.
  • Combien de fois faudra-t-il vous dire qu’on est que quatr… »

Hel’ Ygort interrompit alors sa phrase en voyant sortir des fourrés, derrière le mage étrange, un nouveau quatuor de personnages.

« Désormais, vous êtes réunis. Vous, les sauveurs de ce monde, partez accomplir cette mission, le premier pas vers votre destin. Je ne sais pas où se trouve actuellement Rotrehr, mais j’ai eu vent de plusieurs de ses mauvaises fréquentations en ville. En enquêtant un peu, vous devriez être capable de le localiser. Mais je vous laisse à vos retrouvailles… À bientôt. »

Même Junglor Vilmar laissa partir leur commanditaire sans souffler mot, stupéfait qu’il était par l’apparition des quatre nouveaux personnages. La fille la plus à droite du groupe des nouveaux arrivants, une nymphe vêtue de feuilles et de branchages, lui fit un salut de la main enthousiaste.

« Poupou, je suis si contente de te revoir ! »

Alban

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Le Prof Pokémon #3 | La Pokeball !

Le Prof 3 en ligne, bon avec encore plus de retard que la dernière fois… mais en ligne ! ^^

Bon visionnage !

Thanks for watching !

Note du réal/monteur :

Yep ! Bon, c’est vrai que la régularité n’est pas notre point fort, mais on a toujours le prof en tête et on ne s’arrêtera pas là pour autant ! ^^ Cette série me permet, tout en m’amusant avec les potes, d’apprendre des nouveaux trucs de mise en scènes et d’améliorer ma maîtrise des logiciels de montage. Du coup, sur cet épisode, j’ai essayé de faire un système de particules autour du prof, et après plusieurs aprèmes de montage, le résultat n’était absolument pas convaincant donc en conclusion : EPIC FAIL… Et je me suis contenté d’un fond style pokeball, en essayant de faire de la profondeur avec du flou de mise au point artificiel. Comme à chaque tournage on a eu le droit à des problèmes d’éclairages, notamment sur le fond vert donc le détourage n’est au final pas impeccable malgré l’utilisation de multitudes de caches en post-prod, comme quoi on rafistole pas toujours tout au montage… Même si bon, dans le prof, la moitié des trucs sont extra-diégétiques malgré tout ^^…

Donc c’est à peu près tout ce que j’avais à dire, en espérant que vous trouviez l’épisode cool ^^ !

Jeremy

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